Caroline Morizot est littéralement conquise par la souplesse et l’agilité du SUV de Lexus. À bord du puissant et sobre NX300h, la responsable presse du circuit de Dijon-Prenois en profite pour évoquer « Rêves d’enfants malades ». Les deux faits ne sont pas sans rapport. Nello Cheli, historique concessionnaire de la marque, n’est-il pas aussi la figure emblématique de cette opération de solidarité portée par le Lions Club Doyen ?
40 ans et au sommet de sa forme. Dijon-Prenois, en pleine renaissance, se dote de nouvelles infrastructures, en phase avec notre époque. Son calendrier des compétitions est au top, son taux de réservation à son maximum. Il n’empêche, la solidarité a aussi sa place dans ce monde qui semble pourtant si exclusif, vu de l’extérieur. « Les actionnaires du circuit sont très attachés à l’opération “Rêves d’enfants malades“ », rappelle Caroline Morizot, chargée des relations presse de l’infrastructure automobile. Depuis cinq ans maintenant, sur une proposition du Lions Club Doyen de Dijon (et plus particulièrement de Nello Cheli), cette belle journée permet à des enfants hospitalisés d’oublier leurs contraintes quotidiennes, en montant à bord d’une Ferrari prêtée par de généreux et disponibles collectionneurs. « Elle permet aussi aux profanes du sport auto comme aux passionnés d’avoir le privilège de faire leur baptême de la piste durant 3 tours et sur des véhicules de prestige », poursuit Caroline, « bluffée par le succès de cette opération caritative qui a déjà récolté 268 000 euros (dont 72 000 euros rien que l’an dernier), au profit de la recherche contre le cancer ». « Rêves d’enfants malades », qui bénéficie du soutien de 55 partenaires – dont le Conseil Départemental, le CHU, l’association Coup de pouce, le Club Ferrari France ou encore la gendarmerie –, est devenue l’action majeure du Lions Club. Lexus étant une marque portée par le maison Cheli, dans une concession elle-même entièrement refaite à neuf et tenue par Nicolas, le fils de Nello (par ailleurs pilote en endurance moto du Team Bourgogne), il semblait naturel de proposer l’essai de la NX300h à Caroline Morizot. « Les Cheli ont la mécanique dans le sang », s’amuse l’essayeuse, par ailleurs passionnée d’équitation et donc amoureuse des chevaux, qu’ils soient sous le capot ou sous la selle. Caroline est une nostalgique, inconditionnelle du vrombissement de la mythique Mustang V8.
Totalement conquise
Ses critères sont donc loin de ce que promet cet hybride, dont les vertus sont sur un autre terrain : celui du respect de l’environnement. La Lexus, malgré tout, affiche pas moins de 200 chevaux (en puissance cumulée). D’où cette jolie curiosité : « Je suis impatiente de voir ce que cela donne. Cette démarche vertueuse est dans l’air du temps, tant pour l’écologie que pour les réalités de consommation ». Dans un premier temps, le SUV emballe sa nouvelle « cavalière » : « Il est vraiment magnifique, très racé, tout en restant très élégant. Ce blanc nacré lui va à ravir ! » À l’intérieur, même enthousiasme. « Le tableau de bord est à la fois moderne et sobre, ce cuir brodé au-dessus de la boîte à gants est juste magnifique, il témoigne d’un sens du détail et de la finition, signatures d’un vrai premium ». De la part d’une habituée des belles autos, c’est un beau compliment. La NX300h peut alors démarrer dans ce silence caractéristique des véhicules hybrides dont Lexus s’est fait la spécialité. « C’est toujours surprenant au début mais tellement agréable et apaisant. Notamment à Dijon ou à Beaune où nous sommes contraints en permanence à des démarrages, des ralentissements, des arrêts. Mais dès que l’on veut solliciter de la puissance, le moteur thermique intervient sans à-coup. Quel progrès par rapport aux premiers moteurs hybrides. Bravo aux motoristes ! »
La Lexus est aussi une belle routière. Caroline prend plaisir à entreprendre les petites routes entre Chenôve et Corcelles-les-Monts. Epingles et virages s’enchaînent rapidement. « Ce SUV est tellement facile à prendre en main, sa direction est si souple et si directe, qu’on en oublie sa taille. Tout est sérénité et douceur. Je suis notamment surprise par sa qualité d’amortissement. Elle absorbe les roulis pour un confort total. » Alors, prête à sauter le pas et à rouler en hybride au quotidien ? « Lexus règne sur ces motorisations. C’est impressionnant de voir à quel point ces moteurs sont devenus agréables, grâce à leur silence et à l’absence total de vibrations. Donc oui, j’adhère totalement à l’idée ! »
Fiche technique
Motorisation
- Thermique
- Moteur : 4 cylindres en ligne
- Cylindrée : 2 494 cm3
- Puissance fiscale : 8 CV
- Puissance max : 155 ch
- 114 kW à 5 700 tr/min
- Couple max : 210 Nm à 4 400 tr/min
Electrique
- Puissance : 143 ch / 105 kW
- Couple max : 270 Nm
SI 4 roues motrices, moteur electrique arrière
- Puissance : 68 ch / 50 kW
- Couple max : 139 Nm
Transmission
- 2 ou 4 roues motrices
Poids et mesures
- Dimensions (L x l x h): 4.63 m / 1.84 m / 1.64 m
- Réservoir : 56 l
- Poids à vide : 1 715 à 1 905 kg
- Volume coffre (min/max) : 555 dm3 / 1 600 dm3
Performances
- Vitesse max : 180 km/h
- 0 à 100 km/h : 9,2 s
Consommation
- Urbaine : 5 à 5,3 l/100 km
- Extra-urbaine : 5 à 5,3 l/100 km
- Mixte : 5 à 5,2 l/100 km
- Emissions de CO2 : 116 à 121 g/km
à partir de 40 090 euros