Quand Gwennoline Wachowiak, dirigeante des boutiques dijonnaises Au nom de la rose et Mylsand, croise la route de la toute dernière Skoda Superb Combi, cela donne une rencontre au sommet du raffinement, du luxe aussi. Ambiance forcement privilégiée !
Par Michel Giraud
Photos : Laëtitia Devaux / DClick Studio
C’est l’histoire d’une reconversion professionnelle, et d’une belle rencontre. Il y a huit ans, au terme d’une formation en boutique à Paris, Gwennoline Wachowiak appose au 24 de la rue Piron, à Dijon, une enseigne Au nom de la rose : « la plus noble des fleurs ! Elle est simple et belle à la fois, elle se suffit à elle même ». À la pièce, en bouquet ou déclinée à l’infini, la rose est ici la reine, « parce qu’elle touche au plaisir des femmes, à la féminité, parce qu’elle touche au rêve aussi ». C’est aussi pour ces raisons que Gwennoline Wachoviak a complété sa présence au cœur de Dijon par l’ouverture, il y a un peu plus de trois ans, de la boutique Mylsand. Le prêt-à-porter cette fois. Direction le 38 de la rue des Forges, peut-être l’une des plus belles adresses du cœur de ville : « Ce fut une opportunité, j’ai eu les yeux qui ont brillé quand j’ai vu la boutique et ses produits. Nous sommes dans une logique de multi-marques, nous distribuons aussi bien Victoria Beckham que Moncler, Barbara Bui ou Golden Goose. On fait appel à différents créateurs, c’est un pari, la sélection en début de saison est toujours un challenge. Celui de satisfaire les femmes. J’ai le sentiment qu’il y a beaucoup à proposer au centre-ville de Dijon, en matière de marques, de manière à faire venir davantage encore les Dijonnais. Cette démarche, c’est aussi celle que je défends de faire perdurer dans le cœur de la ville des boutiques indépendantes. » La mission sans cesse répétée de séduire, d’être à l’écoute du client aussi : « Nous ne sommes pas dans une bulle de verre. Je veux que les gens osent entrer dans ce genre de boutique, même juste pour regarder. Le plaisir avant tout. Le côté humain, surtout. Disons-nous que la vie n’est pas compliquée, qu’un sourire peut arranger bien des choses ». Gwennoline Wachowiak se plaît donc, en ambassadrice du luxe, du raffinement, et c’est certainement pour cela que la Skoda Superb lui a tant plu : « C’était une première pour moi. Je connaissais la marque sans jamais l’avoir approchée. J’ai vraiment été impressionnée par le panel d’options. C’est une voiture très confortable, très classe, très familiale à la fois. Et puis il y a des petits clins d’œil sympas comme l’éclairage intérieur qui devient très féminin lorsqu’il passe au rose ! »
Un « Superb » modèle
Vraiment Superb, la Superb, donc. C’est un modèle historique chez Skoda. La voici restylée. Alexis Rosse, de la concession DBAuto 21 à Chenôve, se charge des présentations : « Ici, nous avons une version break, ou plutôt combi selon les appellations Skoda. Un modèle de 190 chevaux, motorisation diesel en boîte automatique. La Superb s’est offert un relooking complet. Ici en finition Laurin & Klement, elle bénéficie des dernières évolutions technologiques. C’est un modèle de luxe et de confort, avec des sièges 100 % cuir, ventilés, chauffants, massants. Le toit ouvrant aussi. Les dernières technologies de sécurité et d’aide à la conduite empruntées aux autres marques du groupe VW Audi, comme le nouveau détecteur d’angle mort, le régulateur auto-adaptatif. Le coffre de 660 litres est remarquable. Dans sa catégorie de break, c’est le véhicule qui possède le plus grand volume de chargement et la plus grande habitabilité des places arrières. Dernier clin d’œil que les habitués auront remarqué : cette Superb Combi a bénéficié du restylage global opéré par Skoda, à savoir que le logo a été supprimé sur le hayon arrière pour être remplacé par une écriture dynamique de la marque ». Les adeptes de la conduite écologique auront enfin remarqué qu’une version Plug in Hydrid vient d’arriver sur le marché.
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